Produit en 1982, cette montre est une véritable pièce de collection. Elle a été contrôlé par Rolex au siège social à Genève en novembre 2018, et elle est 100% originale.
Les modèles 6263 ont été produit de 1971 à 1988.
Le 6263 pouvait être pourvu de poussoirs de 2ème ou 3ème génération. Le modèle présenté possède des poussoirs de 3ème génération.
La couronne Oyster Triplock 702 de 7 mm avec ses 3 points au dessus du logo est d’origine.
Caractéristique du modèle, la lunette est en bakélite et graduée jusqu’à 200 unités.
Le boîtier de 37 mm est beau, encore épais et aiguisé.
La finition est satinée, caractéristique de ROLEX, et les biseaux sont pointus.
Le cadran noir avec sa belle patine est tout simplement splendide.
C’est un cadran d’origine avec à 6 heures le T SWISS T. Les 2 T indiquaient que les index étaient recouverts de Tritium.
A partir de 1998, le Tritium a été remplacé par le Luminova.
L’inscription DAYTONA vient de la célèbre course d’endurance qui se tient depuis 1966 sur le Daytona International Speedway à Daytona Beach en Floride (USA). On l’appelle d’ailleurs la ROLEX 24.
Nous avons ici un BIG RED, avec l’écriture rouge, grasse et courbe qui est le modèle le plus recherché.
Les aiguilles de type bâton ont reçu une application de Tritium à leurs extrémités.
Le mouvement est un Valjoux calibre 727 à remontage manuel.
Le bracelet Oyster en acier, référence 78350 19 est très beau.
ROLEX a commencé à livrer les DAYTONA avec le bracelet 78350 19 à partir de 1974.
Les mailles de fixage (Endlinks) référence 2710-571 sont d’origine et correspondent au modèle. Leur taille est de 19 mm.
Elle est livrée avec sa boite ROLEX en cuir vert d’origine, sa contre boite en carton et la facture de contrôle de Rolex Genève.
L’exigence des collectionneurs aujourd’hui fait de cette montre un très bon investissement pour l’avenir car le DAYTONA, et particulièrement le BIG RED est un modèle qui devient très très rare.
Ces modèles sont de moins en moins proposé à la vente et les collectionneurs sont de plus en plus nombreux. Je vous laisse faire l’équation…